Presque une île, préface de Charles Juliet, La Marge Édition, 1997.
« En des poèmes elliptiques, à voix retenue, Marie-Ange Sebasti nous parle de son amour pour la Corse, cette terre où vivent ses racines, et à laquelle elle est à ce point attachée que pour elle ailleurs n’existe pas. » Charles Juliet, préface
« Quand les îles pouffent de rire
elles s’en vont à la dérive
vers de vieux continents gloutons
Aussi préfèrent-elles
s’obstiner
A ne pas décolérer »
« Marie-Ange Sebasti…, sous le titre de Presque une île, vient de publier des poèmes très denses, très drus, très évocateurs dans leur inquiétude, près de l’essentiel réduit à peu de mots. René Char et Eugène Guillevic peuvent avoir trouvé en Marie-Ange Sebasti une digne héritière. » Alain Bosquet, Le Figaro littéraire, 26 février 1998.